Archives Mensuelles: novembre 2021

Le 25 novembre: journée internationale de la lutte contre les violences faites aux femmes

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Le temps fort du mois de novembre aux Centres Sociaux Carrefour 18 et Ty Blosne est dédié à la lutte contre les violences faites aux femmes.

Claire, stagiaire à Carrefour 18, est venue nous présenter le festival Pluri’Elles qu’elle a en partie organisé.

Ensemble, nous avons observé l’affiche, épluché le flyer de cet événement, réfléchi aux préjugés sur les femmes et les hommes, et à ce que ça implique sur chacun.e d’entre nous.

Nous avons découvert le violentomètre, ce merveilleux outil simple et très utile pour mesurer si nos relations ne comportent pas de violence.

Ensemble, nous avons représenté une société sans préjugés et sans violence, sur une affiche qui sera exposée prochainement.

« J’ai dessiné une femme et un homme musclé.es. L’homme porte un short violet qui est la couleur du mouvement féministe. »
J’ai dessiné quelqu’un. Je ne sais pas si c’est un homme ou une femme. Même son prénom n’est ni masculin ni féminin.

« La chose qui me dérange le plus, c’est qu’en France les femmes n’ont pas toutes le même salaire que les hommes. »

Je pensais que c’était fini cette histoire des couleurs pour les hommes et les femmes car nous sommes au 21è siècle. »

« J’ai remarqué qu’il n’y a pas de grandes différences entre la France et le Maroc, par exemple au niveau du salaire, l’homme gagne plus que la femme. »

« Les différentes formes de discriminations comme le racisme, le validisme, le sexisme et l’homophobie sont des mots que je ne connaissais pas, bien que je sente les discriminations au quotidien, notamment au travail. »

« De nombreuses organisations ont été créées pour soutenir les femmes victimes de violences dans de nombreux pays à travers le monde, et plus ces organisations seront créées, mieux ce sera »

Amine:

« La chose qui me dérange le plus, c’est qu’en France les femmes n’ont pas toutes le même salaire que les hommes. J’ai aussi remarqué qu’il y a beaucoup de violence contre les femmes dans le monde entier. Je pense qu’il y a une différence entre la France et le Maroc: au Maroc, contrairement à la France, les grands chefs cuisiniers sont des femmes. Elles font des plats traditionnels et des pâtisseries et elles ouvrent leurs propres restaurants. »

Hanène:

« A partir de ces deux derniers débats avec vous les animatrices et nous les participants, j’ai découvert des sujets qui me plaisent, par exemple la question des couleurs des vêtements pour les hommes et les femmes. Je pensais que c’était fini cette histoire des couleurs pour les hommes et les femmes car nous sommes au 21è siècle.

Au sujet de l’inégalité de salaire entre les deux sexes je ne savais pas parce qu’en Algérie les deux touchent le même s’ils ont le même diplôme. Par contre la liberté totale pour les adolescents je suis contre parce qu’ils ne sont pas majeurs, ils sont encore fragiles il faut aller doucement. En conclusion il faut vivre en égalité dans tous les domaines et les endroits également . »

Nadia:

« Pour commencer, j’aimerais dire que lors de cette séance j’ai remarqué qu’il n’y a pas de grandes différences entre la France et le Maroc, par exemple au niveau du salaire, l’homme gagne plus que la femme. De fait, la femme ressent de l’humiliation. Elle s’abstient d’acheter tout ce qu’elle veut, surtout les mères célibataires qui sont seules avec des enfants (loyer, scolarité, nourriture, vêtements…) Je trouve cela injuste. »

Meriem:

« Je suis trop contente d’être présente avec vous aujourd’hui dans cet atelier pour plusieurs raisons. La plus importante d’entre elles est la découverte de tout ce qui concerne les droits et les discriminations envers la femme. Je ne peux pas passer à côté de ça en raison de son importance dans notre société aujourd’hui. Par exemple, les inégalités salariales entre hommes et femmes, ça me dérange car là je sens qu’il y a du sexisme. Les différentes formes de discriminations comme le racisme, le validisme, le sexisme et l’homophobie sont des mots que je ne connaissais pas, bien que je sente les discriminations au quotidien, notamment au travail. Je suis étrangère dans ce pays. »

Lia

« La violence a toujours existé, aujourd’hui je la vois partout dans la famille au quotidien et dans la rue aussi . Les victimes de violences sont souvent des femmes harcelées par des hommes. Auparavant, on n’en parlait pas souvent, mais aujourd’hui, de plus en plus de femmes essaient de porter cette question au public, et c’est très bien.

De nombreuses organisations ont été créées pour soutenir les femmes victimes de violences dans de nombreux pays à travers le monde, et plus ces organisations seront créées, mieux ce sera »